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Alsazic, musiques en Alsace

La réécriture au brevet - Exercices

1. D'où que l'on vienne, on est chez soi à Marseille. Dans les rues, on croise des visages familiers, des odeurs familières. Réécrivez ce passage à la première personne du pluriel. Vous n'oublierez pas d'effectuer tous les changements nécessaires.

2. J'aime croire - car j'ai été élevé ainsi - que Marseille, ma ville, n'est pas une fin en soi. Réécrivez ce passage à la première personne du pluriel. Vous n'oublierez pas d'effectuer tous les changements nécessaires.

3. Ce matin du 8 octobre 1959, depuis deux jours, j'avais trente ans et j'étais résolu à me battre et à m'affirmer. En arrivant dans les coulisses du théâtre, j'ai rencontré un Ivernel aussi combatif que moi. Nous nous sommes embrassés, bien décidés à "mettre le paquet". Réécrivez ce texte en remplaçant "je" par "elle" et en effectuant les modifications nécessaires.

4. Il se rejeta en arrière, tandis qu'une masse de terre et de pierres détachées se précipitait dans un trou qui venait de s'ouvrir au-dessous de l'ouverture que lui-même avait faite ; alors, au fond de ce trou sombre et dont il ne pouvait mesurer la profondeur, il vit paraître une tête. Réécrivez ce passage en adoptant une narration à la première personne du singulier. Faites les changements nécessaires et ajouts éventuels.

5. En vous voyant entrer, je me suis douté de quelque chose, j’ai envoyé à la mairie, et voici ce qu’on m’a répondu. Réécrivez le passage au plus-que-parfait en passant de la première personne du singulier à la troisième personne du pluriel.

6. Le cavalier ne bougeait pas. Un vertige l’avait saisi. Il s’était peut-être trompé. Réécrivez ce passage en remplaçant “Le cavalier” par “Les cavaliers”.

7. Rien ne viendra à bout de moi… Le soleil peut bien tuer tous les lézards des collines, je tiendrai. Réécrivez ce passage au discours indirect en commençant par “Le cavalier murmurait que…”

8. Il avait longé des taquerias où l’on vendait du menudo, avait cherché en vain à se rappeler à quoi ce plat pouvait bien ressembler, et, pour finir, il avait tourné dans la calle Chiapas qui s’élevait en direction d’un belvédère pouilleux. Remplacez le plus-que-parfait et l’imparfait par le passé composé et le présent.

9. - Ô buffet du vieux temps, tu sais bien des histoires,
Et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis
Quand s’ouvrent lentement tes grandes portes noires.

Réécrivez les trois derniers vers du poème en commençant par : "- Ô buffets …". Vous ferez toutes les transformations nécessaires.

10. Elle est pauvre et sa table est souvent mal servie,
Mais le peu qu’on y trouve assouvit pour la vie,
Par la façon qu’elle le donne,
Son pain ressemble à du gâteau
Et son eau à du vin comm’ deux gouttes d’eau…
Réécrivez ce passage en remplaçant “elle” par “elles”.

11. Je peux m’étendre de tout mon long dans mon lit, poser ma tête sur l’oreiller, me détendre… Je peux regarder le mur à gauche de la fenêtre… la peur a disparu. Une grande personne avec l’air désinvolte, insouciant, le regard impassible des prestidigitateurs l’a escamotée en un tour de main. Réécrivez ce passage ce passage en remplaçant “ je ” par “ elle ” et “ la peur ” par “ les angoisses ”.

12. Le samedi suivant, par un matin tout rose, Loulou, Capdeverre et Ramélie, entourés de leurs parents, partirent en colonie de vacances, avec leurs valises chargées de linge marqué à l'encre violette. Ils avaient l'air emprunté de conscrits partant pour la grande aventure. Réécrivez ce passage en ne gardant que le personnage de Loulou. Votre texte commencera ainsi : «Le samedi suivant, par un matin tout rose, Loulou entouré de…»

13. Les vieux avaient très envie en ce moment de se promener dans le parc. L'été leur faisait du bien. Ils souriaient, ils tenaient mieux sur leurs jambes que pendant l'hiver. Ils arboraient des écharpes en couleur et des chapeaux antiques. Réécrivez ce passage en faisant parler un vieux pensionnaire qui imagine ce que sera l'été. Vous utiliserez donc la première personne du singulier et du futur.

14. Gesril attend une grosse lame : lorsqu'elle s'engouffre entre les pilotis, il pousse l'enfant assis auprès de lui ; celui-là se renverse sur un autre : celui-ci sur un autre : toute la file s'abat comme des moines de cartes, mais chacun est retenu par son voisin ; il n'y eut que la petite fille de l'extrémité de la ligne sur laquelle je chavirai qui, n'étant appuyée par personne, tomba. Réécrivez ce passage en utilisant le passé simple et en remplaçant « Gesril » par « Gesril et Loïc »

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